samedi, novembre 12, 2005

C'est moi ! Il y a un an... avec les cheveux longs...

Je suis chez ma petite soeur. Je fais le tri dans mes papiers...
C'est important de faire le tri !

Il faut s'organiser... Il paraît !
 Posted by Picasa

jeudi, septembre 01, 2005

Vide...

Serait-il difficile de définir le "vide" ? Le vide, cet état dans lequel nous nous trouvons... lorsque le monde s'écroule... Lorsque le rêve devient néant... Lorsque la musique s'achève et que le son s'estompe. Le vide est là ! Partout ! Plus présent encore que quiconque... Plus présent que le vent, plus présent que le mensonge... D'ailleurs le mensonge, nous plonge dans le vide quelques fois... Souvent nous nous mentons à nous-même et le vide alors nous envahit !

Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !

Les choses sont vides... Il n'y a plus de contact. La ligne est coupée. L'approche du tunel est imminente.

Il était assis là. Sur une chaise haute, accoudé au bar, il regardait le plafond. On aurait cru que son regard parcourrait le monde intérieur... son monde intérieur. Il se formait une coquille entre lui et le reste du monde. Toujours plus épaisse ! Cette coquille s'épaississait de l'intérieur, de telle sorte que l'on n'ait plus de place à l'intérieur.

samedi, juillet 02, 2005

Je reviens mais je ne reviendrai pas souvent ! ! !

Enfin je ne pense pas ! La preuve tient dans l'écart entre les écrits... Vous constaterez par vous même ! Par contre, il y a un petit truc qui me plaît bien c'est le fait de pouvoir décider de la date et de l'heure de publication du message... Cela est génial ! ! ! J'adore ! ! !
Je m'amuse rien qu'à décider de ces deux petites choses... Juste pour info, j'ai écrit ce texte le vendredi 1/7/2005 à 13h16... Et il sera publié qu'à partir du 2 juillet 2005, à minuit ! ! !

C'est cool ! ! ! C'est cool ! ! ! C'est cool ! ! ! Un rien m'amuse ! ! !

Je vous laisse parce que ce n'est pas vraiment mon truc d'écrire des trucs publics...

LNP...
pour vous...

vendredi, juillet 01, 2005

Je reviens...

Mon blog ! Mes pensées ! Un blog sert à publier les pensées du moment... Surtout celles que l'on veut publier ! ! ! Et oui ! Voulez-vous publier toutes vos pensées ? Voulez-vous tout rendre public ? Et votre vie privée ?
Ah ! Ah ! Ah ! C'est marrant quand même ce mode d'expression ! ! ! Je ne sais pas quoi mettre sur mon blog. En plus, ce mot : "BLOG" ! m'inquiéte un peu ! Il est très bizzare, non ? Ne le pensez-vous pas ?

En général, dans mes écrits ( et Dieu seul sait combien ils sont aussi nombreux que privés et presque secrets ), je m'adresse au soldat inconnu ! Non pas celui qui croupi sous l'Arc de Triomphe à Paris ! C'est juste une expression pour dire que je m'adresse à quelqu'un... D'ailleurs il arrive, assez souvent je dois écrire, que c'est une personne déterminée, connue au moins de moi, au plus de vous ! D'ailleurs la rédaction de ce blog est faite de sorte que le lecteur pourrait se sentir viser... Je trouve que c'est mieux ! Quand je relis mes textes, du moins certains d'entres eux, j'ai l'impression de n'être que le lecteur ! Et non le rédacteur, bien que je sache que ceux-là sont miens.
Mes écrits correspondent, le plus souvent, à mes pensées de la journée, du moment. En général, je fais attention aux fautes d'orthographe, de grammaire et de langue. Mais je laisse malgré tout énormément de fautes. Vous verrez !

Peut-être y en a t-il qui traînent dans ce texte.

:o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o)
J'adore faire cela ! ! !
:o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o)
J'adore faire cela ! ! !
:o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o)
J'adore faire cela ! ! !
:o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o)
J'adore faire cela ! ! !
:o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o)
J'adore faire cela ! ! !
:o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o) :o)

LNP...
pour vous...