jeudi, septembre 01, 2005

Vide...

Serait-il difficile de définir le "vide" ? Le vide, cet état dans lequel nous nous trouvons... lorsque le monde s'écroule... Lorsque le rêve devient néant... Lorsque la musique s'achève et que le son s'estompe. Le vide est là ! Partout ! Plus présent encore que quiconque... Plus présent que le vent, plus présent que le mensonge... D'ailleurs le mensonge, nous plonge dans le vide quelques fois... Souvent nous nous mentons à nous-même et le vide alors nous envahit !

Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens ! Vide de sens !

Les choses sont vides... Il n'y a plus de contact. La ligne est coupée. L'approche du tunel est imminente.

Il était assis là. Sur une chaise haute, accoudé au bar, il regardait le plafond. On aurait cru que son regard parcourrait le monde intérieur... son monde intérieur. Il se formait une coquille entre lui et le reste du monde. Toujours plus épaisse ! Cette coquille s'épaississait de l'intérieur, de telle sorte que l'on n'ait plus de place à l'intérieur.